lirik lagu eddy woogy - les uns les autres
[refrain]
certains s’nourissent et d’autre parlent, de vivre de shooter dans l’ballon
certains se privent et d’autre n’ont que, un gros tas d’merde sous les talons
y’a des blindés d’loves, des pleins, des pauvres, des nains, des gros, des bruns, des beaufs, des chiens, des chauves, les tiens, les nôtres, y’a eux, y’a moi, les uns, les autres
des étalons qu’ont la dent longue, qu’on idolâtre on l’a dans l’cul, trop de talents qu’on éteint le succès d’la star à la dent dure
nan mais d’où vient cette envie d’vouloir nous démarquer des hommes, on est tous un peu l-ssé des uns donc on devient les autres
[dico]
marre d’ces gars, plein d’atteinte, plein tout l’temps d’un tas d’trucs tout à fait discutable
beaucoup parle mais disent que dalle, t’es disque d’or ? un homme c’est tout c’que t’es
joue pas le mousquetaire enlève ton mascara, trop d’fausses promesses, trop de mascarades
trop d’vous s’trompent sur la m-sse d’arabe, fallait bien les nominés comme à la star ac’
masque la galère grave, l’art d’avoir sa life dans d’sales draps, ma race la cr-sse de c’gars bat les reccords de la cave du lascar d’ton tier-quar
j’cris car l’amour, la mer, les mots, les marmots qui marmonent, maman, l’hémorragie d’mes mots n’me sert à rien a part me dire qu’j’me mens
j’ai pointé du doigt mais on m’a dit que ce n’était pas bien, j’ai vu des différences mais on m’a dit que ce n’était rien
j’parle de tout le monde, des pélos d’lyon jusqu’aux mouilles de new york
les uns, les autres a baigné d’dans c’est comme les couilles de ton york
[ethor skull]
tocard, c’est ta carte de crédit qui vrille c’est elle qui crise elle te dis de décarre
ta mère en a marre de ma rime prie vite mec pour que ma rime redémarre le choix des uns choque les autres
si, si sur c’point je n’insisterai pas, lâche le xxx de l’appart de déprime, milite plutôt pour la prime de départ
les années mortes c’est dès demain, l’époque est sombre les humains absorbent la lumière
demain on va s’mettre à crever d’faim, chez lui les tas d’décret c’est une norme naturelle
y’a ces têtes de chiens, s’donnent l’air de rien, les donneurs de l’çons, eux me forcent à tuer
ca s’croit utile comme paire de mains, servent à rien un peu comme mordre la purée
la plupart des gens besogneux, très honnêtes sont même crades et un peu sommaires, nazes et impersonnels, manque de poésie, de charme comme la femme d’un poissonnier
la vie n’est pas un gâteau pour tous, parôle de malien peu soigné
dieu a la tête d’un père noël qui a p-ssé l’âge d’être un p-ssioné
[refrain]
[dico]
observe les gens sur le bas côté, certains ont la côte et d’autres des points de côté
quant au son j’comptais pas l’quitter, et toi il t’a quitté t’as qu’a pas être content, j’sais pas
l’homme est l’ennemi de lui-même selon mon avis les mots éliminent les coups même en en fait des plus violents
la pluie, le vent, l’alcool au volant, j’vois l’envolé ton âme
je vais pas t’mentir, y’a des gars qu’en chie, y’a des mecs qui s’amochent pour un battement de cil
y’a ceux qui croient à la théorie du bing-bang, d’autres plus con qu’eux xxx vont faire bang-bang
merde, les avis diffèrent ils disent tous dire vrai
la religion n’est pas le ‘blem c’est un prétexte à la conquête et ça entraine une p’t-te guerre
les héros s’ront les vainqueurs et les perdants s’ront les terroristes, voient l’histoire d’une autre manière
apprends à fuir ceux qu’ils préconisent comme le fait de xxx devenir un putain d’-ss-ssin
y’en a des grandes, des moches, des noires ou des pâles mais j’parle pas du zizi
[ethor skull]
le seul dicton qui compte p’t-t con c’est: “léser les uns, baiser les autres.”
dieu pourrait s’dire depuis des piges, laisser s’éteindre et d’payer leur fautes
il décapite et hote l’espoir l’idée d’un paradis sur terre
pire qu’les animaux, les hommes déraisonnent, j’suis de la race inhumaine
tellement en bad les gens d’en bas, il parait qu’ils urinent jaune et gris
j’aimerais voir les gens unis comme les tifs au lieu de vouloir juste vivre comme les riches
voilà c’est du supplice haut débit crois pas que ma pupille polémique
car quand j’nous r’garde, les uns les autres je ne vois qu’un suicide collectif
quand j’parle des uns, des autres évidemment je te parle de la nature humaine, c’est la même de-mer dis-moi d’puis que l’homme est apparu sur terre
pour finir xxx tu dirais pas nan, tu m’donnerais en pâture aux hyenes
la liste de pute elle a pas l’air d’une nonne, trop courte elle a l’allure d’une naine
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