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lirik lagu dry - la rue

[intro]
dry: oh mais laisse tomber mon frère j’t’ai dis
xxx: eh mais gros, t’as entendu les ambiances des xxx ?
d : eh vas-y gros c’est des oufs, j’les calcule même pas ceux-là là…
xxx : c’est pas possible ?
d : nan mais les mecs ils s’achètent des vues, ils sont là, ils font les voyous, ils parlent de rue. ils savent même pas de quoi ils parlent
eh poto on sait c’est quoi leur rue… t’inquiètes pas

[refrain]
ça parle, ça parle de rue
est-ce qu’elle te connaît ?
rafale sur rafale, c’est que le début
bienvenue dans l’game
trafiquent leur cv pour cacher l’histoire
nous, tous ce qu’on a fait, tu t’en rappelles
parlez, oui, parlez et achetez des vues
moi la vraie street me r’connaît

[couplet 1]
dans la rue, quand j’y étais, t’étais où ?
j’ai trop vu les agneaux jouer les loups
sanguinaire, tel les oufs de mon crew (9.4)
solidaire, jusqu’à la perte de leur crew (mafia africaine)
la street m’a bercé (ouais elle nous a bercé poto)
contre les stup’, les opiacées (les drogues, tout ça)
jamais tu ne dois tergiversé (nan jamais, jamais)
qu’importe le sang, les larmes versés
file-moi la caisse et vite, faire du blé est le rythme
la vie se vit au rythme des balles, de la taule et des flics (les flics)
l’habitude décapite fort, demande à la rue
si l’macadam te rend la vie plus gore, tout ça, on l’a vu (nous, on connaît déjà ça, t’inquiète pas)
la vie c’est biz et score, t’arrives de rive, exporte (sh-t, c-ke, hein)
t’arrives, du biz, exporte, la nuit, tu n’dors plus

[refrain]
ça parle, ça parle de rue (ça parle, ça parle)
est-ce qu’elle te connaît ? (nan nan)
rafale sur rafale, c’est que le début (reh dreh reh)
bienvenue dans l’game (yeah)
trafiquent leur cv pour cacher l’histoire
nous, tous ce qu’on a fait, tu t’en rappelles (eh rappelle-toi rappelle-toi)
parlez, oui, parlez et achetez des vues (parlez)
moi la vraie street me reconnaît

[couplet 2]
tous parés pour la guerre, un genou sur les ennemis
t’as pas prévu l’enfer (nan), dans la street, dans ton déni
c’est ton tour, aller zebi, tu cries “tout le monde à terre”
fidèle que dans la sère-mi, le biff et l’adultère
voit la mort qui prospecte (téma, téma), comme ces cons de matons, qui de l’œil t’ont inspect’ (f-ck, f-ck)
débrouillard on multiplie les casquettes
coupe, détaille , ou des corps à la machette
comme la drogue fait recette, le prix du sang ici s’paye les dettes
sombre, l’existence se joue au 9 millimètres
l’élève dép-sse le mètre, et ça sans compter les traîtres (trop, trop d’traîtres)
si y’a autant de morts, c’est pour qu’à la tienne tu t’apprêtes (nan)
coroner dans l’corner, les commères, les condés
l’école de la rue donne des ailes à ceux qui sont cornés
la bouffe a un goût d’ciment, nos rapports un goût d’piment
des gaz dans les gucci’s, pour enfants impertinents
v’là l’bilan

[refrain]
ça parle, ça parle de rue (ça parle et ça parle)
est-ce qu’elle te connaît ? (mais est-ce qu’elle te connaît ?)
rafale sur rafale, c’est que le début (reh dreh reh)
bienvenue dans l’game (c’est comme ça qu’ça p-sse poto)
trafiquent leur cv pour cacher l’histoire (arrêtez, arrêtez)
nous, tous ce qu’on a fait, tu t’en rappelles (eh nous tu t’en rappelles)
parlez, oui, parlez et achetez des vues (vos histoires là, parlez)
moi la vraie street me reconnaît

[outro]
faut faire sur l’périph’, keufs, sirènes, vérifs
contrôle qui dérive, chargé, tu te dois de faire tatatatata
tatatatata…

- lirik lagu dry

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