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lirik lagu droogz brigade - les enfants de baphomet

[intro]
bienvenue a ma fête
c’est si bon de tous vous voir ici
je suis très fier de vous. vous vous êtes mis au péché avec si peu de préparation
vous agissez comme s’il n’y avait ni paradis ni enfer. j’ai une bonne nouvelle pour vous
il existe plus que jamais un enfer et vous irez y faire un tour lorsque vous crèverez

[couplet 1] al’tarba
ils font la mort entre eux
j’le sais autant que c’qui m’haissent me suivent
et leurs [pastilles?] arrivent a diriger la pyramide
on pourra pas laisser la terre en héritage
la-bas c’est l’hiver
les champs de paraboles poussent a la verticale
ils méritent pas d’naitre dans un bidonville
croient plus aux hirondelles
tant qu’l’horizon saigne
et qu’la police conduit
c’est un avis de tempête
les alliances faites et la crise financière
j’ai pas de clientèle sauf sous les chrysanthèmes
ils ont fait danser les carreaux d’la ville
j’suis né 3 mois après le gros nuage radioactif
il avançait a pas de géant c’était y’a plus d’2 fois 10 ans
la première fois qu’c’est arrivé j’ai cru qu’c’était un accident
j’ai qu’une parole , depuis gosse j’veux pas être soldat
les murs sont pas épais
et l’voisin doit voter autre part
et j’vois la terre saigner autant qu’ta bouche
c’est pas qu’j’y crois mais
l’entrée du paradis est comme un combat d’pouces

[refrain]x2
face à ibis
aux flammes
attendant la comète
nous sommes les fils, les femmes, les enfants d’baphomet
cette vie ressemble à l’enfer
j’réclame un big-bang a l’envers

[couplet 2]
le monde a viré en décharge piteuse
en vivier a serial k!ller
té-ma l’triste préavis de cette société aguicheuse
crise
écart qui s’creuse entre pauvres et riches
dans le fossé nichent
tant de gosses aigris prets aux pires oeuvres
quant aux prophéties
j’me dis que dieu est agnostique
que la terre mere mérite
d’etre respectée vu que l’espece dévie , tourne mal
et laisse des mines sous le sable
[mcs?] bénis par les élites
et génocides pour le graal
extermine toute menace
expedition punitive , attaque cynique
sur civils a l’arme chimique
en syrie cataclysmique
rempli de vices
l’homme est virtuose dans l’macabre
[?] de chlore
d’hom-mes morts dans les chambres a gaz
la bande de gaza survolée a l’aube
par des oiseaux de malheur
des drones predator
l’homme, la faune et la flore
face à la folie des fast foods
les fafs et les fans de flingues
fringués en flics faisant feu sur la foule
satan a l’champagne au frais depuis l’nucléaire
le climat s’réchauffe , car l’enfer est sur terre
tu voudrais voir ton président claquer
fais toi un gun intracable avec une imprimante 3d
apres 10 000 ans d’cr-sse et d’vengeance entre clans
les enfants d’baphomet pataugent dans le sang
tot ou tard nos villes ne s’ront plus qu’des royaumes de cendres
destinés a finir balayées calmement par le vent

[refrain]x2
face à ibis
aux flammes
attendant la comète
nous sommes les fils, les femmes, les enfants d’baphomet
cette vie ressemble à l’enfer
j’réclame un big-bang a l’envers

[couplet 3]
le soleil est caché derrière d’épais nuages
on n’est pas mercredi
des dizaines de sirènes, d’alertes crient
l’air se fige
les infos ont parlé d’une tempête pet-te
puis ils ont vite fait taire ceux qui avaient prévu le drame
un tas d’indice ne trompe pas
les rats ont quitté la ville pour l’navire
les oiseaux volent autre part
les bestiaux des fonds marins viennent jusqu’a la cote
24 heures que tout type canin hurle à la mort
la nature claque la porte en réclamant son loyer
d’ici peu on finit tous broyés brulés ou noyés
putain qu’est ce que tu croyais
qu’tu pourrais vivre ici et baiser l’foyer?
ah , t’es fier tu voulais d’l’action
ca va être un carnage
l’aiguille tape dans le rouge sang , la machine s’emballe
j’ai pesé plein d’fois pourtant un kilo pèse six-cent grammes
ca devient clair comme une sanction
les pôles commencent à basculer
les surfaces vont se fracturer
toute l’humanité acculée
admirez l’travail les dernières pages de l’histoire hachurées
ca doit être sens-ss de voir sa vie dans une crev-sse chuter
un bruit sourd brise le silence , le sol craque
ah fuyez !
quelle triste époque , quelle ironie du sort
dans l’monde aucun réacteur nucléaire ne tiendra l’choc
j’les vois tous s’enfuir en bloc
pensant qu’ca ira loin
plus rien ne sert de courir , on va tous cuire a point

(refrain) x2
face à ibis
aux flammes
attendant la comète
nous sommes les fils, les femmes, les enfants d’baphomet
cette vie ressemble à l’enfer
j’réclame un big-bang a l’envers

- lirik lagu droogz brigade

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