
lirik lagu don hokano - avalanche
j’suis jeune blanco qui a grandi, à travers les avalanches
j’te parle sens littéral car on touche pas à la même blanche
j’aurais pu tomber dedans
j’aurais pu suivre les grands
tous ceux que j’idolâtrais
mais certains d’eux meurent à 20 ans
mais certains d’eux meurent à 20 ans, hein
mais certains d’eux meurent à 20 ans
personne me comprend ici~bas, l’impression d’être un fourchelangue
j’apporte du lourd comme le phœnix, et j’renais toujours de mes cendres
même avec 2g dans le sang, les lignes s’écoulent comme goutte de sang
ici pas besoin de vrai couteau, pour savoir qu’le flow est tranchant
(j’apporte du lourd, toi t’es trop faux
tu retourne ta veste hein, comme un collabo)
j’vois le monde a travers le caméscope, les souvenirs sont gravés dans la cassette
peut~être que j’suis pas dans la bonne époque, les temps se consument comme la cigarette
3 heures que j’vagabonde a montréal, les sqdc prend tout mes papels
dans l’film de ma vie j’suis pas le réal, le contrôle m’échappe dans la fumé fiel
oui j’ai fais les 100 pas dans le casino, j’ai perdu plus d’100e pour mes 400 coups
oui j’ai plongé la balle dans le carcano, mais j’me tire dans les pieds que j’suis prêt a tout
j’me pose, j’me calme
j’veux être intime avec vous, j’tiens a vous dire que j’ai le cœur hivernal
on m’a pas souvent fais la passe (yeah), connu plus de psys que de hess
elève au fond de la classe (hannn), dessinant pour génie en laisse
j’vois le monde a travers le caméscope, les souvenirs sont gravés dans la cassette
lendemain de soirée, j’ai les yeux rouges
l’air défoncé, j’prends des grande bouffées d’oxygène
car trop d’fumé j’ai inhalé
je ne me souviens plus de grand chose, car j’ai préféré oublier
tout mes souvenirs au oubliettes, ça m’évitera quelque regrets
j’marques les jours a la cré, avant d’criée qu’j’ai tout gagné
même si j’dois finir en croix, j’ferais des croisades pour tout rafler
j’te bois matin, midi, soir
t’appelle ca de l’art, tu parles d’billet et de seuf
car quand tu baises tu lâches pour boire
les larmes coulent sans fin sous les ponts, dès que le ciel pleurs je cours sous les pains
sur le jeux d’échec j’avance tout les pions, pour que l’un d’entre eux me montre le chemin
j’me taille le sourire comme le joker, j’veux pas ressembler a tout ces connards
j’effrite la beuh qui se prolifère, pendant que les rêves virent aux cauchemars
pour marquer mon temps j’me salirai les mains, j’enfile pas de gants même si j’suis dans la merde
j’ai ridé en ville pour des boulettes de sh~t, et rouler la de~wee vec vue sur la mer
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