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lirik lagu djins ske - dernier chapitre (feat. isaiah "i.m.a.g.e.")

[couplet 1]
eh, écoute le livre est cheum’ mais je te le lirai quand même
à nantes comme à houston les pages se tournent mais le chapitre est le même
parano, j’trace mais veut prendre du plaisir pour le rendre
paradoxal comme acheter de l’audimate pour se vendre
on fait genre mais connaît la fin comme un film déja vu
la vie devant nous mais les regrets débarquent plus tôt que prévu?
sur freestyle ou grise thémathique on brille et ne triche pas
à tout prix j’dois l’écrire, gros ne m’prive pas de ça
vu qu’ya deux issues : péter le score ou compter sur les autres
perso j’veux rester droit, donc comment faire pour me pencher sur mes fautes ?
“just need a beat”, un sample, une caisse claire qui frac-sse
j’envoie des lettres comme d’autres potos les tracent, micro pour fatcap
au micro j’met le bleu de chauffe cr-sseux pas le blazer
on a l’auditeur qu’on mérite, j’éspère pas prêcher dans le désert
j’tourne en rond en cogitant sur le futur morceau
isaiah, balance le refrain que je prenne pas le risque de la phase de trop

[refrain isaiah]
time seems slow, so we live fast
making death come quicker
of those deadly sins, i’ll take my pick
for which will be my k!llers
l-st, pride and greed whisper to me
what you want’s yours for gettin’
it’s claim everything, lookout for me
so don’t become the victim

[couplet 2]
marche ou crève et on t’agresse pour rester crédible
premières rimes au collège inscrites en scred’ sur e900 sans crédit
d’ici aux states on a le même spectacle derrière le rideau
voudrait changer le décor et ce sans l’aide de damidot
en conditions j’te raconte ça sous sky et lumière lunaire
c’est pas qu’on a pas de plan b mais l’alphabet nous l’a mise à l’envers
pour se protéger des autres dans nos rues c’est la conduite animale, mais cette envie de rap nous quitte jamais, c’est comme sous-cutané man

pour un bout d’sh-t l’homme oublie qu’on nous prive de tout
dans la routine un jour il dégoupille et boum
pour des broutilles on se goume ouais
car peu sont tes soldats qui te diront “jusqu’au dernier soupir on s’couvre”
on change de cap du jour au lendemain
j’dis que la vie n’est pénible que de janvier jusqu’au jour de l’an
j’m’intérresse pas à ça, maintenant je sais que si le crayon ne paye pas de mine nos lignes sont écrites par de grandes mains

[jacques brel]

[refrain]

- lirik lagu djins ske

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