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lirik lagu djeez'modefucker - recueil 2 (le salon de la quenelle)

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tu critiques mes phases et mes actions mais qui es tu ?
si j’meurs demain, mon dernier souhait c’est de te chier dessus
mon équipe encaisse les coups c’est pas ça qui les tue
bâtard, tu peux frapper tout l’temps moi je ne plierai plus !
a tous les piliers d’rue. qui me critiquent sale
ou qui sont jaloux j’envoie darka, mon loup garou
l’genre de c-sse-cou c-sse-couilles
j’ai des phases intergalactique qui font que george lucas mouille
p-sse nous les menottes ! on crochète la serrure avec la teub
vous pouvez réessayer d’nous soulever après la teuf
c’est nous les prédateurs gz, révélateur de talent
tu jactes ou tu m’laves le cul avec ta langue ?
j’me l’demande, parce que ça m’fait du bien de fou
jacte lèche, jacte lèche et comme ça j’gagn’rais plein de flouze
au pieu comme sur morandini, j’lui crache dedans
j’suis vulgaire comme si j’avais une rage de dents
autrement dit je rage comme si j’avais un mal de dents
comme si la schnek de ma schnek avait un autre mâle dedans
freestyle bête et méchant comme un troll des cavernes
j’baise ton rap de merde fréquence 96 méga-hertz
dans la vie j’suis pas compliqué c’qui m’gène c’est que
j’ai l’coeur gros comme le tarpé de jen selter
sorti des sentiers battus. des larmes du sang des raclures morte
parsème le chemin mais comme j’aime la souffrance c’est pas dur
enfant et mature, j’ai fait explosé ma bulle
j’-ssène l’estocade à coups de ratures dans ta littérature
j’crois que j’ai pigé l’astuce : j’dis d’la merde et j’-ssume
rapper pour la forme j’en ai même fait mon lieu de villégiature
figures de styles et insultes. tournures de phrases déjà cultes
quand j’rappe j’expulse des endorphines ! ouais gros comme quand j’éjacule !
j’m’entraine et j’carbure à 20 textes par semaines
ou j’tape des barres de rires et m’torture l’esprit à la barre de fer
même si ça change rien à ta vie ça m’permet d’soulager la mienne parce que j’aime/
grave le faire comme baiser ou bédave de l’herbe !
ici pas d’prise de tête sur les bases de l’existence
placer des phases excitantes mc si j’en ai des milliards dans ma tête
king en technique, en vers djeez t’enterre vivant merde !
j’suis lancé dans l’multissylabique j’emmerde/
les escrocs comme moi qui rappent pour s’faire mousser en soirée
prendre les gens pour des cons, ouais mais faut pas pousser enfoiré
j’ramène du sang neuf, mais c’est pas l’mien
c’est celui de toutes ses baltringues qui m’sucent à m’en quer-cra l’frein
et j’rappe un présent qui m’permet d’alléger ma précarité
toi t’es dans l’futur mais l’futur c’est pas la réalité
flow de baisé spit des tas d’verbes que tu connais pas
j’suis un d’ces esprits aiguisé qui fait jamais d’faux départ
j’acc-mule les tares mais les tarés m’acclament hurlent
matte ma plume j’ai taffé les taffes du calumet d’gras m’rallument
j’bouffe à tout les rateliers, djeez faut qu’vous vous rappeliez
du type ténébreux comme le chat fou à lier comme le chapelier
qui fait que marteler des insultes p-sse son time à gueuler
qu’le monde part en couilles, s’faisant p-sser pour un parolier
j’transcende le corps physique, j’arrive à m’observer de loin
j’fais un effort psychique à pas fumer de joints
même si j’aime autant ça qu’une b-tch qui m’travaille au corps après m’avoir menotté les deux mains
des fois j’me dis : “va bosser allez dégage !”
et puis j’me d’mande pourquoi gagner une vie que j’ai déjà ?
motherf-cker c’est le bouffon qui voulait baiser la reine
les spectateurs m’ont hué j’ai fait explosé l’arène
vas t-y retrouver sans t’perdre, dans ces tess
ou les renois s’défrisent les ch’veux et ou les blancs s’les tressent
ma voix l’instru et le texte dans la cabine forniquent
j’suis à l’ouest comme si j’étais en californie
j’suis pas du genre à dégainer le canif hormis
pour défendre ma propre vie. yes, i live for me
parenthèse faîte, parlons du système frère
nique babylone et toutes ses p’t-tes putes qui s’laissent faire
de plus je ne veux plus d’un monde ou je tiens compte que/
penser par soi même est devenu un don. je/
reste attentif pour pas me manger une salve dans l’fion
si tu m’choppes devant les ch’tis, fous moi une balle dans l’front
j’ajouterais pour tous les angoissé qu’ils s’rongent les ongles
c’est pas parce qu’ils sont plusieurs à s’tromper qu’ils ont raison
seul, impuissant, lâchons les armes et draguons d’la femelle
y’a qu’ça à faire la terre s’appelle maintenant l’salon d’la quenelle


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