lirik lagu dibson – pesos
[couplet 1]
je remonte à la surface un dernier verre
sur mon passé j’essaye d’éteindre les flammes
embrasser le fer, embrasser une femme
j’ai gardé le flair, ce monde est infâme
j’ai pesé le pour, j’ai pesé le contre
donc j’ai baisé l’amour et j’ai pesé les grammes
j’ai joué au sourd, j’ai joué au con
j’ai volé le jour, j’ai charbonné la night
on est pas comme toi, nous on sait se taire
c’est la vie pas un western
les petits ne parlent plus sur les hipsters
ça vend coke et exta dans le secteur
ouais c’est triste c’est la vie mais il y a quoi d’autre
je me force à douter quand j’y crois trop
c’est la vie que tu cr~pote
et tes ennemis chargés dans un cuatro
[refrain]
du biff pour mettre ma famille à l’abri
seuls les yeux rougis je traine la nuit
je remplis mon cœur de rate~pi
ici la mort vient te chercher sans faire de bruit
et le monde tourne comme un bédo
l’amour s’achète comme à meu~da
sur la cage sec c’est des meu~da
on est des hommes on ne pleure pas
toit ouvrant dans le merco benz
je voulais pas rester dans le benks
je mets mon doigt toutes ces chiennes
poto je rentre pas tant que j’ai pas assez de pesos
ouais, ouais, ouais, ouais, tant que j’ai pas assez de pesos
ouais, ouais, ouais, ouais, tant que j’ai pas assez de pesos
pas assez de pesos, que de la puff pour mes vatos, puff pour mes vatos
ouais, ouais, ouais, ouais
[couplet 2]
je suis un soldat, j’ai fait ma paye, dans le ghetto
on est déter, regard de travers on te sort les métaux
ne crois pas que t’a plus rien à perdre, j’ai passé l’âge de faire pleurer ié~ma
ne pèse pas tes mots elle ne fait que té~ma
quand tu vois le chez moi, c’est la merde on rit pas
on survit pas, je viens d’un monde où le soleil ne brille pas
oh ma señorita, non je ne t’oublie pas
prépare tes affaires je t’emmène pour la vida
mais je sais que t’as peur que je reste sur le rain~té
que je fasse des dingueries, que je sorte les mains gantées
j’accélère au vert, la tête à l’envers
les feux de l’enfer derrière les vitres teintées
ouais, ouais, ouais
[refrain]
du biff pour mettre ma famille à l’abri
seuls les yeux rougis je traine la nuit
je remplis mon cœur de rate~pi
ici la mort vient te chercher sans faire de bruit
et le monde tourne comme un bédo
l’amour s’achète comme à meu~da
sur la cage sec c’est des meu~da
on est des hommes on ne pleure pas
toit ouvrant dans le merco benz
je voulais pas rester dans le benks
je mets mon doigt toutes ces chiennes
poto je rentre pas tant que j’ai pas assez de pesos
ouais, ouais, ouais, ouais, tant que j’ai pas assez de pesos
ouais, ouais, ouais, ouais, tant que j’ai pas assez de pesos
pas assez de pesos, que de la puff pour mes vatos, puff pour mes vatos
ouais, ouais, ouais, ouais
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