lirik lagu deemax - la 3ème fois
“c’est le nes, c’est le dee tu sais
yeah
okay j’mets ma veste.”
okay, j’pars
j’ramasse ma cap à terre
j’pars d’mon appart à thiais
j’me suis fait seul, toi tu voles tes parents frère
j’vais t’laisser entre parenthèses
j’me balade pas en caisse
un peu d’doute
sur mon scoot
donc je double
j’pars pas en été
pare~balles sous mon t
pour faire du son audible
“ou est ce que t’es le dee ?”
ça fait longtemps qu’on n’a pas discuté
j’essaye de garder un mental d’acier
tu m’connais j’suis pas carnassier
j’me sens costaud quand on débarque à 7
on s’est pas replacer depuis
on vide nos assiettes
on vit pas d’nos 16
ou d’nos prods, mais bon on a les crocs
faut s’payer à graille faut plus faire à chrome
toujours avec mes bro c’est bon j’en ai assez
impossible que t’es les same
on est tous queblo dans l’asile
face à d’la haine gratuite
jamais on reste assis
j’assiste un d’mes khey et un d’mes khey m’assiste
c’est comme ça qu’on m’a appris
la course dans nos vies
bah c’était un relais
trouve les bons collègues
ceux avec qui t’es jamais en colère
attends, attends, attends…
hey
une fois, je t’avertis
la deuxième fois, j’te l’avais dit
la troisième fois, t’es un ennemi
j’ai trop de haine en mi
j’te rappellerai quand j’en aurais envie
pour l’instant j’erre en ville
j’reste en rythme
vasi…
nes :
aujourd’hui
tout le monde veut être rappeur
faire son beurre et son buzz
et s’barrer
j’ai vu les porcs, ils sont deuss
j’ai un plav dans chaque ville où j’passe
t’as juste vicer ton pote
tu fais l’grossiste qu’a vendu trente kilos d’cam
toujours tranquille au calme
perso, j’ai jamais bibi
j’ai jamais cop de yeezy
dans la fête, j’suis vers les portes
je me sens mal, je suis vers mes potes
la première fois, je t’avertis
la 2 ème fois frère, je te l’avais dit
et la 3 ème t’abuses arrête
nos yeuses se croiseront plus jamais
le dee :
j’évite les flaques maintenant que j’sais que j’irais jamais à la fac
faut bien qu’les tunes, on les fasse
mais l’état efface mes écus
c’est un fact
nes :
c’est un fact
j’pars pas en vac mais j’ai des valises sous les yeux
on a chuté , on a dévalé la vallée
décevoir un frère, hum
c’est dur à avaler
j’ai du rab à raper
ils sont tuba, et ils mélangent
nous on est dure à attraper
le dee :
des mensonges et des chiffres
nes :
ils sont pas dure à appâter
(han)
le dee :
les gens cons et les chics
donne pas d’rançons d’élitistes
pour un k!ll j’t’assure que la paye est ptite
(en vrai)
nes :
on s’ballade pas en rs6
on est à pâte en vrai c’est chill
le dee :
faire les 100 k en vrai c’est tchi
faut penser à les investir
nes :
veulent tout savoir ils s’investiguent
j’utilise ça comme un vestige
le dee :
une fois, je t’avertis
la deuxième fois, j’te l’avais dit
la troisième fois, t’es un ennemi
j’ai trop de haine en mi
j’te rappellerai quand j’en aurais envie
pour l’instant j’erre en ville
j’reste en rythme
vasi…
nes :
la première fois je t’avertis
la 2 ème fois frère je te l’avais dit
et la 3 ème t’abuses arrête
nos yeuses se croiseront plus jamais
(…)
le dee :
“j’roule un joint d’kaboom
brian n’dort toujours pas, avoue”
bien sûr que j’serrai r
sans tout ces shlagues qui m’ont pourri la vie
m’faut juste une bouffée d’air, un chat
et une dewee d’afrique
pour m’sentir en vie, on vrille, on rentre tard dans la nuit
ou tôt le matin
manteau de cuir, cap en velours côtelé
café et ginz
on r’garde les yeux pas le décolleté
okay c’est carré les zin
j’crois qu’on est des types bien
épicurien
mais on nous pique du pain
et on oublie qu’lupin
c’est du vol parce que c’est poétique, un
braquage dans la finesse
ma plume a le poids d’un guinness
okay lesgui nes
nes :
sisi le dee
c’est carré ce qu’on fait
mais faut viser l’double
d’ailleurs si t’aimes pas, t’écoutes pas
et puis c’est tout
sur eux j’vide les douilles
le dee :
on les chope par le zip de la veste
on les cible dans l’averse
même si on est 6 et vous 17
on est si fou que ça parle de nous dans des dissertes
bien avant ça j’aurais déserté
tout ces riches ‘vec leurs desserts et thés
envoie les flics qui viennent nous arrêter
voyou respecte celle qui l’a allaité
défends sa famille à l’épée
nes :
la, je suis avec la team kesadit
ça cl!ck et ça digg
j’ai pas de potes
je confonds ma clique et ma miff
balances des barz
ou des claques qui les salissent
roule un quesadiasse
je sais
avec qui c’est « adios »
traverse les biomes
fume un truc bio
je rap toujours ‘vec mes momes
je rap toujours ‘vec mes mains
roule un quesadiasse
je sais
avec qui c’est « adios »
traverse les biomes
fume un truc bio
le dee :
même quand mes piliers dérapais
j’étais al en hiver en été
j’inhalais divers variétés
j’ai vu grandir mes reufs
mes reufs m’ont vu grandir
j’ai pas changé d’équipe
elle s’est juste agrandit
nos armes, on brandit
on est bandit que sur le track
ou ‘vec la manette dans les pattes
eau du robinet ‘vec des pâtes
envoie mes talles que j’me respecte au dîner
épate~moi et on feat peu importe le son d’ta voie
j’le frai une fois pas mille
audio fantanyle
caché dans le cœur plein d’antalgiques
mes notes, c’est ma came, mon gagne~pain, j’agis
qu’avec mes gars bien, ça gifle
han han…
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