lirik lagu deek - i/s
[paroles de “i/s”]
hey
[couplet 1]
j’ai plus trop d’inspi c’est temps~ci
ma meuf me dit qu’chui sensible
mais faut qu’j’arrette de fumer, ouai le chit décolle les gencives
vieilles blessures ont une odeurs de sangs séchées
un parcours sans échecs, impossible comme traversée pied~nue une chaine de montagne enneigée
près à m’sacrifier pour les miens tout comme la fée négi
j’fait [?] mes textes car je sais q’mécoutent les nejeus
tu peut chasser t’est vieux démons, maintenant qu’t’est sous mon égide
et dans ma tête c’est l’egypte, le désert, les pyramides
si tu n’pense qu’aux sous arrête, coupé du monde comme touareg
les riches vols aux pauvres, t’a qu’a r’garder la fdj
là je rentre de soirée, trois grammes dans le sang, dur de vésqui les pass~m~nts de jambes
hey
crochet, ptit pont, comme suàrez, j’veut construire [?] éclairé mes zones noir
mais toujours pour les miens et tout les autres tard, connus la gimmick [?]
et dans mes veines coules le sang catalan d’mes ancêtres
pour ca qu’des fois j’m’énerve, mes phalanges frôles le placo
toi, tu n’pense qu’au biff, une éternel mise en scène
dur de rev’nir en arrière quand le vice te passe la bague au doigt
[pont]
et j’crois j’en ai marre de m’détruir
le monde va mal comme pendant crise de détroit
fait gaffe même si le katana reste dans son étui
depuis toujours ses enfoirés ne penses qu’a masquer t’est droits
hey
[couplet 2]
même s’il est droit dans ses bottes, c’est le seul noir de la bande, qui s’fait embarqué d’vant ses potes, tu trouve ca normal?
un premier mandat dépôt, pour une couleur de peau, à notre époque et même avant j’trouve pas ça normal
un dernier check de la paume et de l’épaule (hey)
je sais qu’s’est sur celles de mes frères que j’peut m’reposer
car dans ma vie j’veut oser, sur sa tombe, remplacer l’bouquet d’fleur bleu par quelques roses
avec les dji de panames, ça roules des mèches à rébus, ouai cousin on m’arrête plus
peut~être que demain, j’pourrais m’payer une merco, en attendant ce fameux jour, j’me galère dans l’arrêt d’bus. (p~tain)
ou j’ride la ville sur mon vélo, car même le bus ça pollue
la canicule ne vient pas de nul part, c’est nous qui détruisons le monde, mais ses dégâts n’s’annule pas (nan nan) (nan)
j’souffle mes 22 bougies, encore envi de bouger, ne plus écrire sous j
arrêté ses merdes, plus d’une fois ouai j’y ai songé
suivre mes principes à la lettres comme okita soji (hey)
et j’me r’trouve face à la mer, calme, a l’inverse de s’qui s’passe dans mon crâne
encore un soir où c’est la même, une arme perdu trouve son chemin à travers le tranchant d’une lame
j’me pose des centaines de questions sans trouver les réponses
es~que la paix est fait pour l’homme, es~que l’un est fait pour l’autre, es~que c’morceau va t’faire réfléchir? es~qu’il va te faire chier? es~que tu va l’pull up? (es~que c’morceau va t’faire réfléchir? es~qu’il va t’faire chier? es~que tu va l’pull up?) (hey, hey, hey, hey, ouai)
[couplet 3]
mais toutes ses questions me rendent fou
j’sais plus où donner d’la tête, une caisse qu’j’ai envi d’éclater, mes pensées noir j’déblatère
j’prend un ticket pour nul part, j’rêve de quitter la terre
le ciel est couleur [?], mes chaines envi d’scié, mais si j’porte une pair d’sol c’est pas pour l’style, c’est juste pour cacher ce regard fuyant
mais j’garde la tète haute pour les miens, car c’est auprès d’eux que passe les galères
et c’est avec eux, que j’veut partir bronzé sous l’soleil des calanques
c’est grâce à eux, que j’ai d’la force tout les jours, et aussi grâce aux initiales de mon grand père gravé sur mes phalanges
encore un soir à bader, écrire jusqu’à pas d’heures
[?], d’augmenté le fader
ouai c’est mieux en fa dièse
là où une penser sombre traverse mon esprit, encore les problème du [?]
j’reste cinq minutes à phasé, j’reste cinq minutes à phasé, yeah, j’reste cinq minutes à phasé
et j’me rencontre que l’inspi et d’retour, et autour d’elle j’ai du faire faire quelques vautour
pour leurs rendre la monnaie d’leurs pièces , j’essaye de capter l’ombre de mes fantômes sur la poupée vaudou
et j’crois qu’vient d’finir le morceau
c’est d’sa faute si l’humain porte le poids du monde sur les dorsaux
terre promise à une mort sombre
encore un soir où j’m’endort seul, pendant qu’on daron s’endort saoul
,
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