lirik lagu deadi - bienvenue
[paroles de “bienvenue” ft. weedy]
[intro : deadi & weedy]
deadi
haha, la pression, hahaha
tu m’décrasses, mec
alors ? hey
[couplet 1 : deadi]
soldat du projet chaos, des fois, j’ai comme envie d’me rebaptiser “paulson”
j’suis là mais tout l’monde s’en fout, des fois, j’ai comme envie d’me rebaptiser “dodson”
combien ont perdu l’sommeil et la raison à rêver d’amasser des somme folles ?
ils s’sentiront plus jamais aussi vivant qu’à cette époque où ils étaient comme morts
t’écris comme si t’étais [?] et qu’on venait d’te subtiliser dix litrons
j’écris comme si j’étais ghost dog et qu’on avait décapité tous mes pigeons
écriture gonzo mais qu’atteindra jamais la conso’ d’hunter s. thompson
avec un poncho, j’peux tout aussi bien défourailler qu’essuyer votre sol
vos débats dans l’faux, c’est eux qui galèrent à voir à quel point on les cogne fort
et c’est aussi précisément pour ça qu’on les sonne fort
ils s’métamorphosent que par le peu de tout rafler, quitte à c’que les autres morflent
ça connaît que dalle à l.a. mais, à les écouter, leur quartier, c’est compton
(ça connaît que dalle à l.a. mais, à les écouter, leur quartier, c’est compton)
j’suis d’cette époque où les grands d’la té~ci’ passaient leur temps à écouter [?]
rien à battre d’avoir de bonnes notes, de m’mettre à baliser pour de la ‘sique
ou d’avoir le sentiment d’être boycotte, j’ai eu papa weedy comme prof’
[refrain : deadi & weedy]
deadi, papa weedy, poco loco
produit vocaux dans les bocaux, sois le bienvenu dans l’hosto
le style est soigné, mais c’dont ils souffrent est sérieux
bien trop sérieux pour être soigné, sois le bienvenu dans l’hosto (hey)
on prend au sérieux de pas trop s’prendre au sérieux
nos neurones font des sauts périlleux, sois le bienvenu dans l’hosto
de bagarreur aguerri à guérisseur égaré
qui qu’vous soyez, soyez les bienvenus dans l’hosto
[couplet 2 : weedy]
ma flow baise tout donc ils serrent les fesses, ça n’empêchera guère les faits
mon cœur vacille entre guerre et paix, appelle~moi “weedy tolstoï”
devenu trop stoïque, et ça depuis que mes rêves [?] des grosses cornes
le monde a viré film d’horreur, comme jackson dans “thriller”, j’mate en bouffant les popcorns
j’vois des hommes comme [?] des crackheads qui dansent comme mr. freeze quand l’décor s’tord
on tue les enfants, blâme les parents et joue les étonnés quand les gosses mordent
le diable fait des bons scores, l’espoir a fermé boutique, baissé son store
laisse~moi chanter mon blues sur un misère records beat
avant, c’était [?], beats et vers agressifs
maintenant, c’est barbe grise, calvitie et verres progressifs
comme la mémoire rétrécit et que mes beaux récits s’échouent sur un gros récif
j’perfuse le respect d’soi dans l’cerveau d’mes filles avec les crocs d’mes fils
et vice~versa, en attendant, j’fais mes ffaires~a’
avec deadi, on aime faire sale, même quand c’est propre, d’après c’qui s’dit
j’quitte cette affaire en moonwalk, [?] pour jouer les [?]
quand, d’ailleurs, dans le zion, ils m’appellent “le loup”, [?] des uns et des autres
[refrain : deadi & weedy]
deadi, papa weedy, poco loco
produit vocaux dans les bocaux, sois le bienvenu dans l’hosto
le style est soigné, mais c’dont ils souffrent est sérieux
bien trop sérieux pour être soigné, sois le bienvenu dans l’hosto (hey)
on prend au sérieux de pas trop s’prendre au sérieux
nos neurones font des sauts périlleux, sois le bienvenu dans l’hosto
de bagarreur aguerri à guérisseur égaré
qui qu’vous soyez, soyez les bienvenus dans l’hosto
[couplet 3 : deadi]
on m’dit ci mais c’est pire que ça, si c’est pas facile à dire, j’le gratte
le taffe deux/trois nuits et puis j’le crache en m’imaginant que weedy m’regarde
(d~e~a~d~i) a.k.a celui qu’est toujours saoulé mais qui tise que dalle
a.k.a celui qui nique carrie à la vitesse à laquelle elle nique le bal
qui fait qu’les traiter d’fils de putes comme s’il était l’dernier des fils de lâches
arrêtez d’insulter mes ailes de plumes, à la vue d’ma pierre d’édifice se cachent
me dois d’kicker ça comme il se doit et sans écouter qui qu’ce soit
déjà deux fois dix piges que je pige que dalle, débit certifié sans huile de palme
arrête de penser qu’t’es pire que tout (arrête de penser qu’t’es pire que tout)
des conneries, j’en ai dit des pires que toi (des conneries, j’en ai dit des pires que toi, ouais)
arrête de penser qu’t’es pire que tout, des conneries, j’en ai dit des pires que toi
l’histoire de “paf le chien” m’touchera jamais autant que celle de “bim le chat”
donc continuer à penser [?] et papa weedy fera passer tes techniques
pour des futilités des plus b~n~les et tes fatalités pour des friendships
french kickeur à la kiss [?] ont été finis à la p~sse
ceux qu’en ont plus rien à branler d’être à la page et qu’en ont rien à battre d’être à l’affiche
qu’on dit gueux bien avant qu’ils aient passé la moindre ~n~lyse (té~ma’ la weed)
il joue l’malin mais finira couché l’jour où il va goûter la tête à rachid
y’a personne ici qui peut m’mettre à l’amende, à part un flic (non)
p’t~être qu’on n’aura pas pris d’fric mais on se sera payé c’kif
“sept~huit” tatoué sur nos veaux~cer’ et tagué sur au moins mille bancs, grand
parle mal et y’aura plus d’dent
[couplet 4 : weedy]
c’est quoi, le next épisode ? la peur fait office de camisole
leur narcissisme et leur cortisone ? tu crois qu’j’rigole ? putain, faut qu’j’m’isole
j’pose mon flow à l’ancienne sur un beat à l’ancienne que j’estime hip~hop
loin d’ceux qui pipeautent, ma dignité munie d’un putain d’antivol
té~ma’, le mac s’immole, t’as les [?], j’suis au maximum
pas d’apologie, du love pour les miens, que, sur la ‘sique, mon âme sillonne
m’adapte toujours du premium, jamais tu n’te questionnes quand je t’en offre un morceau
plaies sur les dorsaux, inconsolable quand j’pense à tous les miens qui sont morts tôt
y’a plus d’gangsta rap, d’idéal de b~tchs et de grandes baraques
j’ai su éveiller ma glande pinéale, maintenant, mes valeurs les embarrasse
plus j’vois la sagesse, plus j’vois leur bassesse, la vérité fait flipper sa race
leur monde est dans l’marasme ; avant d’péter un câble, il était temps qu’j’m’arrache
faut bien vivre avec son temps pour choisir lequel [?] parce que le vôtre sonne faux
j’t’explique, ici, perd son temps et ça laisse des séquelles, à la fin, on radote trop
les relations, ça fuse, les mots vont trop vite et j’suis pas [?]
deadi/weedy s’amusent, filent sur le beat, sept~huit et l’hosto
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