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lirik lagu chroniques de mars 3 - chiens fantômes

[paroles de “chiens fantômes”]

[intro]
dogs, dogs
ghost, dogs
ghost, dogs
ju~ju~ju~ju~ju~ju~just music beats

[couplet 1 : sch & akhenaton]
le feu dans les estomacs, et les étincelles quand les coups partent
pyromane recherche un coupable
langage des oiseaux, l’ange colombe
sans remords comme un colon, bien trop haut pour les coups bas, han
l’accent du chien fantôme, l’automne revient tuer l’été
des millions dans mon acier, un glock 5 contre la mort
la maglite et la matraque, durant m’enflammer dans les manifs
la faim crée l’arrêt cardiaque, la monnaie réanime, oh
un transmis en vpn, j’ai galopé deux roues
cherche un produit réactif, une drogue dans l’actif
l’esprit fonctionne, le cœur ne bat plus
des sons jetés, des sons faits, vit encore rien ne va plus
promettre à père d’être digne, de s’asseoir sur ses genoux
promettre au ciel de tenir, un jour de plus debout
pluie soit meurtrière et vide, renéant dans le regard
quelques grammes jetés dans l’eau, et mes rêves jetés dans l’vide
tous tes effets personnels dans un casier, nos vies c’est du 95 dans le brasier
avec la même rage de quand j’étais pas rassasié
j’ai foncé tête baissée sous l’orage, j’ai graille du gravier
poumons remplis d’air pollué, j’te parle du bien arme à la main
survit chaque jour que dieu fait, principe en acier trempé
produit par intraveineuse
un box et quelques cartouches
ter~ter, vices, vertus, pareil que sur un feu rouge
[pont : sch]
chien fantôme vient d’ouvrir la volière, yeah, yeah
le majordome vient m’ouvrir la portière, han, han
en grammes, en tonnes, rien n’vaut le poids des remords
un .38, un deux roues, un autre fuseau horaire

[refrain : sch & akhenaton]
chien fantôme vient d’ouvrir la volière
le majordome vient m’ouvrir la portière
en grammes, en tonnes, et rien n’vaut l’poids des remords
un .38, un deux roues, un autre fuseau horaire
ghost, dogs
ghost, dogs

[couplet 2 : akhenaton & sch]
j’vis par la voie du samouraï, ouais
et là c’est l’son d’tes funérailles, hé
j’suis l’invisible chien qui envoie reposer les cons
là pour toujours, dessous c’monde minéral
j’ai marqué mon nom sur la map
monter c’business, avec une mixtape
et ceux qu’tu idolâtres, planter leur blase avec une s~xtape
et même dans le macabre
j’livre un carnages et d’espèce, si bien qu’dans le metal ou
dans le classique, on me respecte
on me respecte à l’école ou au taff, on était transparent
nos colères et nos peines, elles étaient transparentes
on nous rabâche toujours
attends qu’les temps s’arrangent, et que la haine s’arrange
alors faut plonger sur ce marcheur blanc
j’avais un plan, il a foiré, j’me suis fait pété les chicos
j’ai pris la bombe argentée, et j’ai prié le micro
lorsqu’on a peur, on prie
dans la battle c’était qu’un couplet, middle
bizarrement les rappeurs lèvent les yeux vers les cieux
j’aime pas ses armes, tu as pué sa crasse
ça fait un boucan
sur le chien passant
j’peux faire le .45, maniable
avec les yaourts debout, un silencieux, j’en colle une à ta pouf en passant
j’finis l’job, j’vais sur le toit, j’tiens pas un coloc
j’ai mes secrets, j’ai confié aux colombes
au fil du temps cette vie m’a serré les poings, serré le cœur, serrer des couilles au lieu d’serrer des mains
[pont : sch & akhenaton]
chien fantôme vient d’ouvrir la volière
le majordome vient m’ouvrir la portière
en grammes, en tonnes, rien n’vaut le poids des remords
un .38, un deux roues, un autre fuseau horaire

[outro : akhenaton]
les mensonges qui voient x
j’l’ai vu dans leurs yeux quand ils quittent ce monde
la malédiction dont on a tous hérité, s’est errée dans ces rues tout seul lorsque la nuit tombe
au milieu du vacarme, criait klaxonne
mon oreille sur les lèvres quand le glace sonne
il y a qu’une seule couleur
noire, les gens m’appellent le chien fantôme

- lirik lagu chroniques de mars 3

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