
lirik lagu chronic (fra) - ventriloques
[intro]
(yo)
(kima, chronic)
[couplet]
ils sont peut~être broliqués mais moi j’deviens prohibé
pourtant qu’armé d’mes pensées se sont tous mis à m’éviter
ils ont chié dans leurs bens quand ils m’ont vu porter du lonsdale
ça joue au gros balèzes mais ont peur de marine le pen
bandent sur une commu hip~hop qui n’se suce qu’entre potes
j’comprends qu’ils me détestent, leurs bouses les éclaboussent
ces débiles simiesques qui supportent ces évadés du zoo
comprends qu’ils me débectent à nous vendre de l’esbroufe
j’suis celui qui a trahi, qui a compris orwell dans l’bon sens
qui s’est farci toute votre putain d’condescendance (et vos sarcasmes)
faites votre cinoche à la terre entière
mais y’a pas d’gangsters derrière l’antipop
j’suis pas l’antidote à l’arrière d’la scène, y’a qu’le poison que j’concocte
j’arrache leurs ridicules breloques en toc
j’m’acharne sans équivoque sur cette époque qui manque d’éloquence
détonant de la tendance, j’serai qu’un blanc raciste en france !
vous n’serez pas sauvés par votre dhimmitude (jamais)
faire preuve d’insolence pour cacher vos platitudes
j’ai pas l’attitude appropriée (gardez vos “blabla”)
j’rêve de les torpiller, j’en crève de m’égosiller comme un forcené
j’remue la lame dans des plaies ouvertes, matière grise inerte
ça fait grimper l’bénéf’, provoque l’inertie du reste
mais j’serai pas cynique pour une cause sans merci
j’fais sans cesse comme sisyphe, j’roule ma bosse à l’infini
j’réduis pas l’écart toujours distant avec eux (toujours)
j’vise pas les charts mais entre les 2 yeux (dans l’mille)
du vice dans leur carte, on joue pas au même jeu (nan nan)
j’fais pas du rap mais du sacrifice d’affreux
de trous d’balle à la solde de l’industrie d’guignols sans racines
ça produit des idoles comme des clones qui tapinent
s’animent les pantins de bois, répètent après les ventriloques
mais de qui s’moquent~ils comme seanzedog (qui ?)
posture permanente du gentil connard de gauche
les narines pleines de coke dans leur pré carré se gargarisent
rien que ça s’lamente avec tout c’que ça empoche
s’expriment comme sinok et pleurnichent fort comme kassovitz
ces grands seigneurs allaités par l’etat sont pas là pour t’aider
mais pour t’faire accepter d’être grand remplacé
des fils de pute dans des quartiers cossus
déversent leurs discours cousus de fil blanc aux vertus bien convenues
sans retenue, j’leur lâche mon plus beau mollard
leurs anathèmes sont vides de sens, ne cachent que leurs frayeurs
pilleurs d’conscience voudraient qu’on pense comme eux pour garder leur pouvoir
dans cette zic j’suis qu’un chat noir, j’ai qu’de mauvais présages dans mon grimoire (j’ai qu’ça)
ils ne cherchent qu’le feu des projecteurs et les pluies de subventions
acteurs, dealers, mythomanes en puissance
profiteurs d’un socialisme dévoyé dévoué à la destruction
de l’enfer, ils en font notre résidence
[outro]
(de l’enfer, ils en font notre résidence)
Lirik lagu lainnya:
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