lirik lagu caballero - régularisation
[paroles de “régularisation”]
[couplet unique]
né en 88, j’me sens jay~z d’nonante sept, depuis le commencement, y a qu’les vrais bails qu’on enseigne
si ça s’trouve, on t’a même enseigné l’rap, le disque dur est plein de prods qu’on saignera
si si, c’est jamais léger ma gueule, pas les mêmes rimes
pas les mêmes schémas qu’eux, les gars d’twitter veulent pas m’lécher la uh
j’sais pas, sûrement sans faire еxprès, j’ai du baiser une reuss
pourtant tu v’nais à mеs concerts casquette ralph et même le pull grünt
j’ai plus d’runtz, j’allume la zushi de chez ocaçapo, tu vois la ons là ? en une heure, on aura sa peau
au calme, ça s’pose, ça parle d’toute la puissance qu’on aura, tu r’ssens mon aura, tu tiens encore d’bout, j’trouve ça honorable
la mort au rat dans toutes les boissons du parlement, c’est pas d’l’art, c’est de l’armement, les dollars me manquent
enfin du moins, tout autant qu’à toi, c’est pour ça que j’bosse tant et parce que maman mérite tout plein d’trucs ostentatoires
les bouffons aboient car autour de nous, les poufs sont à poil et qu’on s’fend la poire tout au fond d’la boîte, uh
jamais soldé, tout l’temps cher, évidemment j’veux une patek qu’aurait bien plus de baguettes que la f~cking boulangère
pas mal ta cartier, j’préfère rolex quand l’platine est froze, la concu’ ? des barbies, des hoes
j’ai été cherché des fleurs et j’ai pas pris des roses, crack musique, j’répartis les doses, j’fais partie des pros, j’éparpille les proses
un nouveau genre de petit poucet, parano comme si j’avais encore d’la beuh qui poussait dans mon sale grenier
t’es pas l’premier palefrenier à m’dire : “caba t’aimes pas l’rap”
mais j’aime tellement l’rap que si mon fils rappe mal, moi et ma femme, on va l’renier
j’donne ça comme si j’allai jamais m’arrêter, comme si une déesse allait m’allaiter
pasta al dente dans mon tour bus direction les festivals d’été, on percute un raciste, on snappe la scène et on va pas l’aider
j’suis là pour provoquer, j’suis pas ton prof okay ? uh, on vous a trop f~cké
facile comme faire ses lacets ou déverser la sauce, j’mérite une murcielago et mercé la zone
c’est la guerre des clones, on dirait l’épisode 2, un conseil ? rapproche~toi du vide et puis saute
ici, ça découpe mais on peut aussi l’plomber, j’fume du gaz mortel, j’arrive allumé au zyklon b
tes amis me brisent les illes~c, “mais bientôt j’me tire” comme disent les ieux~v, tellement j’brille, j’te grilles les yeuz
flash : t’oublie ta vie d’avant, hmm, ça c’est men in black, tes meilleurs lignes s’f’ront casser par mes p’tites blagues, okay
j’suis à deux~trois sapins d’vouloir me mettre à peindre, j’suis pas le plus à plaindre, toi, on t’connait ap hein ?
j’m’en suis tenu au plan et j’regrette rien comme édith piaf, aujourd’hui, j’peux m’payer c’terrain édifiable
y bâtir un building, y mettre toute mon équipe, que des types fiables, on veut pas les p’tits fiaks, ni citroën, ni fiat
nan que des fly sh~ts, noir sur noir, pas de flashy, toi l’meilleur ? pfff, t’as fumé v’là l’sh~t
quand j’suis d’vant la classe, les gens lèvent le doigt mais là j’suis dans la caisse et j’enlève le toit
coupé cab’ de marque allemande, cab’ le catalan, le gars d’talents donc garde ta langue dans ta poche
sauf si c’est pour m’congratuler, remplis le contrat, tue~les, tu verras ces cons t’aduler, tu t’rends compte ?
t’as du lait dans ton bol de céréales pendant qu’eux, ils versent du dom pérignon, f~ck ceux qui ont les billions
yeah yeah yeah, moi et l’j double, on est des chics types mais on déchique tout
r.a.f d’une groupie, j’aime ma femme et son s~xy cul, ses parois exiguës, quand j’dérape en elle, elle crit “sku”
il m’faut ces kisses, un millésime et d’la beuh en guise de kinésithérapeute
ouais, j’suis c’bon vivant sur son divan qu’écoute des sons kiffants, les meilleurs plugs, j’connais beaucoup d’monde qui vend
la concu’ c’est du jus d’pomme, j’te l’jure boy et moi ? j’suppose que j’suis l’boss, chut
jules bosse juste à côté, il mixe les prochains sons qui vont t’couper l’crâne, écouter cab’, c’est comme goûter l’crack
ils s’croyaient fort, hmm mais j’les fais douter grave
p’tite dernière pour la route : laisse pas trainer ton pochon, j’aspire tous tes grammes, caballero
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