
lirik lagu burton - papyrus
[couplet 1]
questionnement sous calment, face à une étoile solitaire, solidaire
tu m’découvres et t’sais pas que j’les oblitère
dénigrer ta mère en rédigeant d’jolis vers
tel un clone de molière ingurgitant d’joli teh
t’souviens~tu quand j’rêvassais sur le banc de l’école primaire
avec du papier, un crayon
par la plupart des professeurs, j’étais vu comme l’enfant lunaire
mais leurs coups ont fait qu’en été je m’sentais comme un soir d’hivеr
j’ai d’jà rêvé d’l’homme à la faux, même pas tant déplaisant
et t’sais qu’les xan, ça t’plongе encore plus dedans
quand tu sombres, manipulé par les ombres
tu t’enfouis sous les décombres
et ce pendant qu’ta pute le ressent
tu vois cette fille triste, qui part chercher un 10e
voit t~elle en tes yeux l’espoir d’un avenir radieux
ou bien un regard si vide, serais~je si insipide ?
des cernes au teint livide, comme un air d’adieu
(yeah)
comme un air d’adieu, l’soir elle s’en remet à dieu
elle prie par dépit d’puis qu’son mec s’est remis à deal
donne~moi une syllabe, des métaphores j’t’en écris mille
visage caché comme lakitu, j’suis pas un di~ban
mes rimes sont ma seule lame qui tue
et quand j’voyage sur mon divan, c’est là qu’j’ai l’âme qui s’purge
j’écris mieux sous médicaments, car depuis j’ai l’habitude
depuis j’ai l’habitude, caché sous l’masque j’ai l’attitude
si les gens j’les regarde de haut, c’est car je plane en altitude
l’inspiration m’vient du passé, merci au fait qu’j’ai la vie rude
je sèche, je sors mon pet et j’écris triste sous l’abribus
[refrain]
triste sous l’abribus, ouais, triste sous l’abribus
j’me rends compte que les hommes se fanent donc j’ai perdu un ami d’plus
triste sous l’abribus, ouais
quand j’rédige détermination sur le dos fin du papyrus
triste sous l’abribus, ouais, triste sous l’abribus
j’me rends compte que les hommes se fanent donc j’ai perdu un ami d’plus
triste sous l’abribus, ouais
quand j’rédige détermination sur le dos fin du papyrus
triste sous l’abribus, ouais, triste sous l’abribus
j’me rends compte que les hommes se fanent donc j’ai perdu un ami d’plus
triste sous l’abribus, ouais
et j’écris triste sous l’abribus ouais…
[outro]
déchiré comme sur mustafar, il est tard
j’allume un teh face à d’occasionnels phares
qui passent, posé sous l’lampadaire
mourir un soir d’hiver, s’dire qu’on peut rien y faire
dire qu’au départ de l’espoir, j’en ai jusqu’à plus savoir qu’en faire
tu prends l’problème à l’envers, fragile comme que~tru en verre
grand~mère, j’ai peur qu’on t’enterre, mon tour venu, irai~je en enfer ?
mon tour venu, irai~je en enfer ?
burton
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