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lirik lagu black m - les yeux plus gros que... l'an 2014

[intro]
oh oh oh, big black m
les yeux plus gros que l’an 2014

[couplet unique]
alerté par le d-i-a-2l-o
avis à tous les kickeurs : wesh, vous êtes où ?
j’entends qu’ça pr-nostique
mais où va le black m avec sa promo stick ?
et rien qu’juste parce qu’ils sont forts mes sons
certains profitent pour dire que je suis un franc-maçon
f-ck you, moi, j’connais la valeur d’un franc, garçon
j’ai les yeux plus gros qu’un milliardaire, pour ton information
bref, j’suis plus qu’en forme : action !
j’vais leur montrer qu’leurs rappeurs, chez nous, n’sont qu’en formation
le game, c’est un trou à rats, dans ma tête, c’est l’brouhaha
j’arrive : sayonara, oui, du sale, ça, y’en aura
des rimes comme y’en a pas, jeu de dribbles comme la toca
comme le d, je suis bloqué, si tu frimes : on te tab-sse
hum ! détrompe-toi, j’suis pas dopé
hum ! ha ! hum ! #punchonomatopée
l’génie sort de sa lampe parce qu’elles cherchent toutes à l’frotter
l’ennemi paye son marabout parce qu’il rêverait d’me voir flopper
j’en ai plus rien à foutre, comme shin
j’suis venu pour tout grailler, comme tout c’qu’ils bouffent en chine
à mes débuts, les rappeurs étaient déjà tous has-been
dream, on va t’oublier comme les zouk machine
comment recoller les pots c-ssés
quand c’est du n’importe quoi comme l’empereur bok-ssa ?
chelou comme c’qu’achète et c’que nous vend l’état
ça m’étonne pas qu’mon gars jr soit en mode vendetta
donnez-moi des disques d’or, j’suis encore endetté
embêté, dawa, j’veux qu’on s’barre avant c’t’été
servez-moi un verre de jack ou mettez-moi du jackson
ou trouvez-moi une voix, un feat à la toni braxton
j’n’ai pas fait de pacte, à part avec mon gars bacos
c’est quand y’a des problèmes que tu vois l’vrai visage des harkos
faut qu’j’me mé-cal’, en vérité si j’m’égare
c’est uniquement parce qu’la vérité s’trouve à mecca
dans l’film de ma vie, j’attends pas d’oscar d’un imbécile
pour m’apaiser, il m’faut une mosquée à domicile
mon album est attendu, je le sais
celui qui m’empêche de l’défendre, j’ai pas l’choix : je le saigne
que le hip-hop français reste en vie, même si les rappeurs m’envient
oui, parfois j’ai envie d’tout fumer comme dans un coffee
oui, elle est nne-bo’ mais pas hallal la meuf de hov
oui, je p-sse du coq à l’âne pour t’montrer qu’t’es qu’un novice
ainsi soit-il, comme dirait l’inst-tut
ghetto chic, mais c’est pas celui qui s’chie dessus
rancuniers, reculez, repoussez vos bums-al’
mon p’t-t doigt m’dit des choses anormales
les plus grosses punchlines ne sont pas dans tes textes, mais
dans cette religion que marine déteste, ouais
vérité, euh, pas bonne à dire
parce que vérité blesse et t’fait disparaître comme bonaly
non, celle-là on l’a oubliée : disons comme ben ali
tu veux qu’on s’rappelle de toi ? frappe comme mohamed ali
boumayé, fou à lier, je me demande où aller
parfois même où sont mes alliés et est-ce qu’on va me médailler
wouah ! wouah ! wouah ! si y’a le wa, mets l’billet
j’fais pas la taille d’shaquille o’neal mais ils sont tous à mes pieds
oui, ils sont tous à m’épier, à surveiller le moindre pas
oui, oui, c’est stressant akhi, mais je n’le montre pas
pour mes frères et sœurs de bko, de kar-da, de ‘nakry
ici on s’lève pas pour danette mais plutôt pour du thiakiri
je ne fais que bire : oui, je vends du rêve
j’sais mc, j’suis ton pire cauchemar, t’aimerais que j’crève
mentalité d’baisé, qui s’donne pour être aisé
ici pas de froc baissé, tester vaut mieux pas qu’t’essaies
moi il faut me laisser, et ça jusqu’à mon décès
juste ramène le plat, et surtout n’oublie pas l’dessert
wati b : famille nombreuse, oui on est encombrants
diallo, diakité, tout ça on s’comprend
2014 : devine qui vient t’mettre d’accord
rouge-jaune-vert le drapeau, mon pays il est grave pauvre
le peura j’suis accro, peut-être le futur patron
pardon, si quelques fois j’utilise le flow marteau
c’est pas ma faute : faut qu’on les baise
tout en faisant les choses bien, comme issam de saint-blaise
oui les singes mangent des bananes, mais les singes blessent
b.l.a.c.k.m : maintenant, tout l’monde connaît l’blase
et ne venez plus nous saouler avec la fin d’la s-xion
c’est juste des albums solos, y’a pas d’remise en question
dédicace à meugui masta, et à mon gars maska
y’a qu’le wati b qui pèse akhi, le reste est pas stable
la mode c’est plus les rock stars, et encore moins popstars
si tu veux un feat, remplis mon frigo ou je pose pas
give me some ho… kiffe le ceau-mor
tu crois qu’j’ai fini, alors que j’commence
tu vois, c’est physique : donne-moi récompense
ou j’recommence depuis le début
tu vois leurs flows d’merde : c’est pas ça le débit
à deux doigts d’insulter les javons d’fils de pute
wow, wow, ma sortie approche
si tu m’appelles je réponds, mais c’est fort possible que j’raccroche
prisonnier d’mon propre perso, qui m’dit qu’il faut que j’perce auch’
que l’album f-sse le tour du monde, tout ça avant qu’la terre saute
les dj m’p-ssent en club pour m’honorer
j’en rêve depuis t-t-pe, sé-po devant l’club dorothée
les gros yeux, les gros yeux, chez nous c’est “djan naa guitè”
j’ai la haine comme celui qui boit parce que sa femme l’a quitté
ou comme c’détenu qui n’a rien fait et qui n’est pas acquitté
on m’a dit : “tu peux tous les uer-t’ akhi, mais t’as qu’à kicker”
j’me dois d’tirer les ‘zincs à la traîne
c’est mon année, mais j’trinque à la tienne

[outro]
les yeux plus gros que l’an 2014
devine qui c’est qui revient t’mettre d’accord
big black !
bonne année, bonne santé
à tous mes amis, à tous mes ennemis
yeah, rendez-vous la semaine prochaine pour le premier gros single qui s’appellera “spectateur”
yeah, le premier gros single de l’album “les yeux plus gros que le monde”
sortie courant mars : vous êtes prévenus !
dawala, wati b

- lirik lagu black m

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