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lirik lagu beurzh - démon

( libérer mes démons… )

qui a t’il dans leur têtes ? qui a t’il dans la mienne ?
si on se tape les fronts
est~ce des idées qui jaillissent ou des bouts de cervelles ?
tout est sombre, tout est mieux ainsi, tout mes vœux partis
vers le vide, le chaos cosmique : le seul ordre infini…
j’crache des cendres, des humeurs amères, des résurrections
seul car trop nombreux, jе pris seul le jour de l’insurrеction
tout est sombre, tout est mieux ainsi
tout est fini…
tout est mieux ainsi, ainsi tout est redéfini

laissez moi libérer mes démons !
laissez moi libérer mes démons !
laissez moi libérer mes démons !
laissez moi libérer mes démons !

mes démons c’est des anges, l’univers est sombre
son architecte est si puissant, me relèvera sans peine, de tout les décombres
il exige le feu, la foudre, le fléau… à son service mes démons c’est des anges
le futur des cendres…
tout ce répète, et je suis seul, je veux tout voir bruler
à mort la race humaine !
rêver pompéi, quitter les méandres d’un monde mécréant, reniant sa seule nature
pas d’écrits pour nous, juste un infini coincé entre deux fractures…
fracture ! nul n’est élu, nous ne sommes que rature
peu mature, abrutis à payer des factures
on remplit les cases, même celle de la marge…
sauvage…nous avons l’art cure mais ne parlons souvent qu’en frappes dures…
contracture des esprits, seule la connerie est contre nature
l’homme est contre nature, sous le sol monte le mercure
mes peurs brûlent… laisse couler, que meurent dans le feu les nouveaux “hercule”
perclus dans le mal que la fin nous percutes…
percute ! l’uppercut à thanos !
ennemie n°1 sera celui qui ne visera pas le magot…
ignorer les ignorants, c’est être ignorant…
lui, n’oubliera personne quand sonnera la fin des ____ …
patience, garder patience…
le silence devient indispensable lorsque trop absent
j’ai des absences, peu connecté au présent
comme hors de l’esp~ce ___ temps…

( libérer mes démons… )

tout ça n’est qu’un cauchemar… un cauchemar ? ou un doux rêve ?
je ne sais plus… transparentes sont les plumes… les plumes de la colombe
laisse partir dans l’écume la tristesse, perd la vue à perte de vue
poursuivre sans cesse l’horizon…
quand viendra le moment, là où les mots manquent
là où les nomenclatures sont inutiles, je serai présent
le grand tournant est plaisant, décent, sans aimant sur le temps
peu lui importe le 1er janvier ou le 31 décembre…
il n’y a pas de calendrier là où l’on va, eh !
que le monde devienne un rêve ou un cauchemar, eh !
nous sommes dans le cendrier d’une conscience qui ne fume pas, eh !
sur nos poussières d’étoiles, le vent céleste soufflera, eh !
nouveau paysage, nouvel assemblage d’éléments :
élémentaire, nouvelle humanité dans les rangs
dans les rangs, dans les champs infinis
la servitude n’est pas toujours mauvaise
seulement bonne quand tout le monde s’y range, eh !
nouveau regard sur le vide et le vif, sur la vie
sur les viles mythes de l’ancien monde, quitte le vite ! oui, agit dans son oublie
renie toutes les mimiques :
les violences et les vengeances d’anthologie;
chasse les de ton logis, de ton monde, donc…
répéter nos erreurs serait un manque flagrant de logique
message abstrait car personne n’est prêt. peut être bien que nulle ne veut l’être
trop seul dans ma tête, ainsi les démons s’invitent
mais je ne peux me taire, je ne peux me trahir;
j’imagine que pour l’ennemi c’est pareil…on court vers le pire…
fuir les empires, faire qu’empire la situation
c’est fuir les vampires de la d~mnation
et quand s’éteindront toutes les nations, unis, alors ils crieront :
“les démons sont morts, vive le nouveau de~mon !”
( libérer mes démons… )

- lirik lagu beurzh

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