
lirik lagu b.james - respecte l’omerta
[couplet 1]
si t’es l’genre de type qui collabore avec les flics
m’adresse pas la parole, j’parle pas aux fils de pute d’indic
la balance est l’fléau des temps modernes
j’éclaire ta lanterne, plus l’temps avance, plus il exige la loi du silence
on est aux antipodes, tu méprises l’honneur et son code
aujourd’hui plus personne tient sa langue comme si c’était une mode
tant d’mondе enfermé parce qu’un fils dе pute n’a pas su la fermer
chez les kisdés quand il s’faisait défoncer
trop d’langues déliées, de délits avoués
après deux~trois coups bien placés et la menace de partir quelques années
quand l’flic me dit “parle ou tu pars pour vingt ans”
j’réponds “nique ta mère la pute, j’fais ma peine et j’te baise en sortant”
t’es avec eux, ok mais faudra pas rer~pleu
quand tu vas t’faire découper en deux
c’est certainement pas les bleus qui vont t’défendre
faut s’rendre à l’évidence, balance
tu vas tomber de haut si tu penses que la police est ta providence
[refrain 1]
j’suis l’feu d’la banlieue, j’ai grandi sur ces bancs, vieux
où t’apprends vite qu’il existe deux camps, nous et eux
les poucaves sont sans cervelle, si serviles
dans ma ville ils peuvent pas faire long feu, blankok, trop haineux
[couplet 2]
si t’es pas prêt à assumer les conséquences quand tu t’fais péter
pédé, va taffer comme tout l’monde et fais pas chier
j’t’avoue j’comprends pas, dans ta cité tu fais l’méchant
une fois menotté sur l’banc, après deux gifles, tu pleures comme un enfant
réfléchis bien cousin, parce que si tu parles, on va faire de ta vie un enfer
si c’est pas vivant qu’on t’enterre
comment tu peux faire ber~tom un frère
de toute façon, si c’est une grosse affaire, ta peine, tu vas quand même la faire
tiens ta langue, trop parler peux tuer
si t’es concerné, j’comprends qu’à m’écouter tu sois exsangue
rien d’pire qu’une poucave dans une promenade
ça risque d’être rude, devant une lame artis~n~le, y a pas d’parade
tu peux t’réfugier à l’isolement comme une victime
de toute façon estime~toi heureux si tu ressors d’ici vivant mon vieux
tu risques de mourir lors d’une rixe
le prix à payer pour t’être payé l’luxe d’être prolixe chez la police
[refrain 2]
respecte l’omerta ou on t’nique ta mère
dès qu’tu franchiras ces murs, tu seras mort
parce que t’as fait la commère chez les porcs
t’as pas les couilles pour c’milieu
donc n’essaie pas d’jouer
parce que nous c’qu’on fait c’est du sérieux
[couplet 3]
t’as franchi la ligne jaune, t’es passé d’l’autre côté
maintenant d’mec opé, t’es passé à mec recherché (dans la tess)
non pas par la justice puisque tu vas leur dire tout c’que tu sais
mais par les banlieusards énervés, c’est dix fois pire
pour ma part, jamais j’perds mes couilles devant ses porcs
qu’ce soit mon port de ceinture ou pour d’la pure, cousin
la peur du gendarme, mec tu t’fous d’ma gueule ?
chez nous ils flippent de venir même quand les gens dorment et qu’ils sont seuls
pense à ta famille, c’est chaud s’il leur arrive quelque chose, frérot
des représailles peuvent toucher ton entourage quand tu parles trop
fais gaffe à tes côtes, j’ai l’seum que tu dormes sur tes deux oreilles
alors qu’un autre dort en cellule par ta faute
fais attention où tu marches
maintenant à tout moment on peut mettre fin à ta vie d’merde avec un schlass
j’t’avais dit, garde tes couilles en toutes circonstances
espèce de con car toi, en deux secondes, t’es devenu une balance
[refrains 1 & 2]
respecte l’omerta ou on t’nique ta mère
dès qu’tu franchiras ces murs, tu seras mort
parce que t’as fait la commère chez les porcs
t’as pas les couilles pour c’milieu
donc n’essaie pas d’jouer
parce que nous c’qu’on fait c’est du sérieux
j’suis l’feu d’la banlieue, j’ai grandi sur ces bancs, vieux
où t’apprends vite qu’il existe deux camps, nous et eux
les poucaves sont sans cervelle, si serviles
dans ma ville ils peuvent pas faire long feu, blankok, trop haineux
respecte l’omerta ou on t’nique ta mère
dès qu’tu franchiras ces murs, tu seras mort (a.n.f.a.l.s.h., cousin)
parce que t’as fait la commère chez les porcs (l’abominable b.james)
t’as pas les couilles pour c’milieu
donc n’essaie pas d’jouer
parce que nous c’qu’on fait c’est du sérieux (on t’avait dit, [?] ma couille)
j’suis l’feu d’la banlieue, j’ai grandi sur ces bancs, vieux
où t’apprends vite qu’il existe deux camps, nous et eux
les poucaves sont sans cervelle, si serviles (les règles du jeu, cousin)
dans ma ville ils peuvent pas faire long feu, blankok, trop haineux
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