a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 #

lirik lagu atom (producer) - premier battement

[couplet 1]
l’expérience n’apporte pas que préjudice
elle guide aussi tes pas, mène tes choix
fait de toi ce que les autres voient
selon ton p-ssé, tes souvenirs, tes cicatrices
qui n’ont rien avoir avec ton destin
ce n’est qu’un dessin, et non ton dessein
on apprend de ses erreurs, animaux ou humains
animosité et défunts, on apprend de ces horreurs
on grandi via ses humeurs
pendant que ce seize hurleur
tourne en boucle depuis des heures
je gratte quelques textes à la recherche de l’inspi’
en imaginant l’avenir de ma vie
ramant contre les flows, rimant contre les faux
que je f-sse un choix entre mes études et le rap
je ne prendrais pas parti, je veux être hôte de la game
j’ai trop de répartie, je suis hot dans le game
je pense que je pèse, je pèse mes mots
je panse mes plaies, je presse ce bouton play
et tire un trait sur le p-ssé, p-ssant mon temps à penser
que mon avenir ne sera qu’éphémère en fumant
destiné enfumée, futur flou mais futur fou
ma vie à venir en lambo’ avec une femme et un landau
ou en lambeaux avec deux-trois putes et un labo
-en lambeaux ou en lambo’ –

[refrain]
déçu par les gens, tu tomberas de haut
mais avant de pourrir, au fond de ton tombeau
il faudra se relever, continuer, inspiré, expiré
jusqu’à ta dernière taff, jusqu’à ton dernier souffle

[couplet 2]
tu me parles du bien, du mal
mais j’ai toujours été marginal
je renie ces lois, qui ne font que nous restreindre
on me dit reste simple, mais j’ai des rêves à atteindre
je continuerais d’rapper tant que je ne serais pas éteint
je ne veux pas d’un destin commun
tu te réveilles d’un coma
encore dans coaltar, t’as fumé trop de pétard
mais bon là c’est trop tard, dédicace aux bâtards
je n’ai jamais aimé les dictées, qu’on me dicte leur merde
et que tout ces dictateurs nique leur mère
es-tu vraiment celui que tu prétend
l’homme évolue au fil du temps
beaucoup trop de gens mentent
ces faits divers nous font penser cash
mais dans ce froid d’hiver je ne fais que parler cache
quartier partagé entre les gangs et les clans
même en sport des potes se battent pour ne pas être sur le banc
je suis un poisson, pour certains du poison
je ne changerais pas d’opinion, j’emmerde ces cons
sans pensé aux conséquences, mais faut qu’on s’éveille
même si je rêve encore de ces gens qui m’applaudissent
on est loin de ce pays des merveilles #alice
je ne rap pas pour le profit, juste par envie
entre rap et hip-hop, entre jazz et reggae
mes rêves deviendront concrets, quand les gens viendront a mes concerts
j’ai plein de bout de textes mais je les conserves
c’est con mais j’espère qu’un jour ils me servent
pour rappé et me souvenir de ne jamais abandonner -ne jamais abandonner-

[pont]
car tôt ou tard tu tomberas de haut, déçu par les gens
au bout du rouleau, avec ou sans argent
il faudra se relever, continuer, inspiré, expiré
jusqu’à ta dernière taff, jusqu’à ton dernier souffle

- lirik lagu atom producer

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