lirik lagu atk - qu'est-ce que tu deviens ? (2002)
atk – qu’est’ce que tu deviens ? (version compilation – illégal music 2002)
– [“phonétique”]
– -onomatopé-
– (aussi backeur, canon et réponses avec effets pendant les strophes)
(0:11 – intro instrumentale – guitare électrique, saxophone)
(0:12 – couplet 1 axis et canon)
ouaais, [alexis s.] pour atk
j’aimerais savoir, qu’est-ce que tu deviens gars
ça fait un bail qu’on s’est pas croisés, (un pote), ouais
(de longue date) ouais, (qu’est-ce que tu deviens ?)
(0:21 – beat – hit (bom), hit (caisse claire) et snitch)
j’croise un de mes anciens potes, (hun-hun)
alors que le temps nous presse, (ouais ?)
un vieux, un ancien
un de ceux avec qui j’avais fais la promesse (ouais ?)
que jam(ais)’ne m’en séparerai, (-ttt, ttt- x2)
malgré le temps qui p-sse
mais l’amitié s’affaisse (hun-hun) et face (grosse) au sang
(histoire) s’efface (de fesses)
et maintenant face à face
j’aimerais savoir, qu’est-ce que tu deviens (rien…)
toujours le même mot qui reviens
en bref rien (ouais), toujours les mêmes phrases
dans la bouche de ceux que je croise (ah bon ?)
ça devient l-ssant, toujours (chui-bien) le même, (le même)
toujours moi-même ou (oh la-la) toujours présent
(0:42 – couplet 2 antilop sa et canon)
quand on me dit que la vie est longue
c’est dur à croire car elle nous largue
tant d’ambitions, de rêves inachevés c’est pas là
que je veux que ma vie s’achève
tant de contraintes, tant de mois qui p-sses(s)
des pertes de potes, tous-ça ça pèse
on vit au jour le jour, avec nos contres et puis nos bourdes
euphorie éphémère, rien de fameux
marre de voir les mêmes gosses affamés (putin.)
si je cours après la fama c’est qu’faut de la maille pour la famille
marre de voir ma mère se tuer dans des taffs beaucoup trop indignes
à l’a.n.p.e. ils croient, elle signe, les gens grillés; sont coeur à elle saigne
témoins de tant de scènes pathétiques dans ma vie sa sent dans ma voix, (merde.)
j’veux grimper prêt du bon dieu sans qu’il f-sse trop secouer l’arbre
atterrir sur le parquet au marbre, j’joue pas dans les billets, je mens
voilà ce que m’a dit un pote de longue date
submergé par de grosses dettes
ché-pas ce qu’il est devenu mais sur sa réussite j’ai de gros doutes …
(1:23 – refrain cyanure et canon)
qu’est-ce que tu deviens ? (cette même question revient)
et toujours sans réponses (le temps), combien ? (a p-ssé) trop d’amis perdus (peur de nos pensées)
qu’est-ce que tu deviens ? (cette même question revient)
et toujours sans réponses (le temps), combien ? (a p-ssé) trop d’amis perdus (peur de nos pensées)
(1:35 – couplet 3 freddy k – effet téléphone – guitare électrique, batterie légère, saxophone)
allo ? (allo bonjour, est-ce que je pourrais parler à un monsieur alfred, s’il-vous-plaît ?)
oui oui c’est moi…
(yo alfred, c’est [tes, max de phases]) nooon
(ouais si, si je t’-ssure; ouais g’j’ai vus dans les journaux là, t’as bien réussis toi, vas-y (c’vrai?) raconte moi (aha) un peu comment, ça c’est p-ssé (cl-ssique))
(1:46 – beat – hit (bom), hit (caisse claire) et snitch)
depuis le temps c’est arrêt’ (touz), à cause de toi, ma direction j’ai pris les îles au sud du canarie(s)
j’l’ai mise autour de moi, j’en cri
enfin mérité, dix ans de galère, de gré pour plaire à tous
j’ai cru que jamais j’aurai ballast la maille, ou me font tous
(tranquille pour toi, content de voir que tu vis bien)
je roule en merco, le jour le soir, la porsche pour un gala galère
pour moi finis le temps, ses heures dans le froid au grand bal du monde
j’ai honte, on rit quand même quand je pensais à nos rondes
(ahah-aha, ah ! tu te rappelles encore de ça ?)
qu’est-tu crois ? j’ai fais le bon, ranger les douilles pour baiser
faire du blé aux sachets blanc, pour moi finis de tomber
une vie de pacha, pacha maintenant ma viande est casher
chaque ceux-mor, parole reprise, me vaut une vente aux enchères
(ah ça se p-sse bien alors, la vie est pas chère pour toi)
et toi racontes! les meufs, la maille, toujours aussi bien servis
jamais en peine de go, je m’souviens, je joue des ra-cli
(2:31 – couplet 4 – effet téléphone et canon)
toujours dans le ghetto fons-dé au sh-t j’ai dis qu’chui armé
je p-sse des métaux au sh-t pas la peine de t’en larmer
(dis-moi la vie te sourit ainsi j’croyais que le partage étais
quitte pour tous à ce que j’entendu, tous, là ou t’es tombé)
je roule en merco, c’qu’on roule ici nous c’est le be-do, (-tousse x2-)
trops d’embrouilles bêtes, les frères se cannent même pour un mégot
(arrête, je flippe pourquoi si bas, pourtant la musique t’avait
donné ce qu’il fallait: mailles, célébrité tous ce que t’en bavais)
sache qu’à chaque heure qui p-sse, y à un de mes potes qui saute
mes neurones (grilles), comma éveillé, voyant si ma chienne de vie par en vrille
en vrac, cette putin de vie s’accroche à moi comme un junkie, je craque
(je crois maintenant ta vie face à moi rien de plus minable, cadre remplis à bloc de mordu, tous ces faux marchands de sable)
vide-flow, qu’on vive bien, du sh-t dans une main, le glock dans l’autre, ça te choque ?
à chaque rime que je lâche, à l’étoffe d’une sale époque. (à l’étoffe d’une sale époque…)
(refrain : 3:12)
qu’est-ce que tu deviens ? (cette même question revient)
et toujours sans réponses (le temps), combien ? (a p-ssé) trop d’amis perdus (peur de nos pensées)
qu’est-ce que tu deviens ? (cette même question revient)
et toujours sans réponses (le temps), combien ? (a p-ssé) trop d’amis perdus (peur de nos pensées)
(3:23 – couplet 5 fréko ding et canon – apostrophe dans la rue – guitare électrique, batterie légère, saxophone)
(oh la la, [frécaut] c’est toi ?) ouais pourquoi ?
(tu te rappelles plus de moi ?) nonn ?
(karinne !) ahh ouaais, aloreuh ?
(qu’est-tu deviens ?) mooh comme d’hab, t’sais tous vas, c’est comme ça quoi
t’façon t’as mon numéro, tu me lâche le tiens et on s’appelle!
(ohh [frécaut]) ouais ! (viens on vas pécho un whisky là, lâche la go)
(3:39 – beat – hit (bom), hit (caisse claire) et snitch)
mec (mec) ou est le cocac'(oh la), (bim bim)’faut mon turbo là, allooo ?
mais merde (merde) elle me prend pour un con
on c’est donné nos number, je lui ai dis viens chez moi elle m’a dit non(nnoon)
je veux que tu sois, ma p’t-te copine, ma copinette
et que je ne me prenne pas la tête pour des clopinettes
sinon j’te c-sse deux, (eh [frécaut], calmes-toi, c’est une fe-mmeu)
et alors ?
(3:58 – beat – drop hit x2)
on dit de moi, chui un psychopathe, j’ai failli vach-cra une nana à coups de batte, (-brah-)
alors, aimes-moi ou sinon ! non ! (quand même pas, [frécaut] ding-r-o, [frécaut] d’ingra’-aith-)
(4:09 – couplet 6 cyanure et canon – apostrophe dans la rue)
chaque jour avec tes potes (salut !) quoi de neuf ? (comme d’hab, la routine…)
n’aimez pas la même bouffe (toujours la-même), même hamburger, même chiche-kébab
sauf quand tu veux être, mignon, les jours de rendez-vous (salade, tomate…)
(ouais mais aujourd’hui sans ognons !)
c’est dans ses pensés, même dégoût
et quand on t’demande qu’est-ce que tu deviens ?
tu réponds, (tu sais moi, le malchanceux, le poisseux, c’est moi …)
mais ça va changer d’ici six mois, (ouais), y à pas grand chose
maintenant, j’ai le même discours, j’dis pas t’as pas manqué de bol, mais
l’temps, (à p-ssé!), des gars de ta cl-sse on des staffs stables, un autre bientôt papa
ils sont peut-être pas ministres non plus, mais dans les taffs de stables'(non plus)
et moi, si je peux te parler ainsi
juste un pote qui rep-ssera dans six mois devant ce banc
et qui aimerai ne plus t’y voir ainsi
(4:46 – outro sans canon – guitare électrique, saxophone)
il s’agit de ceux et d’celles qui marchaient sur les mêmes chemins que toi
potes d’un jours, p-ssés trop vites, potes qui ne te côtoient plus
à tes cotés, ils n’y se sont plus quittés un jour ou ils t’ont dis
bon ben à demain hein et puis plus rien
qu’est-ce que tu deviens ? (-écho-)
(4:58 – outro instrumentale – guitare électrique, saxophone)
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