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lirik lagu a6mil - on avance

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[paroles de “on avance” ft. scylla & code rouge]

[couplet 1 : scylla]
si j’avais écouté les gens, à l’heure qu’il est, je n’tiendrais plus debout
je n’prêterais qu’allégeance au diable, enfermé dans des murs de troubles
commis quatre ou cinq meurtres, rien que pour la sensation
rien que pour les voir me craindre et m’perdre dans leurs tentations
mon âme se s’rait encastrée dans leurs boucliers d’vices
j’n’aurais pu voir mon passé en face qu’au fond de bouteilles vides
j’cracherais sur tout c’qui existe, j’en s’rais dégoûté d’vivre
j’aurais p’t~être fini sociopathe ou pire, à douze, treize piges
j’n’aurais pu croire qu’en c’que je voyais, évacuer ces questions
rejeter en bloc c’qui n’est pas déchiffrable par la raison
j’n’aurais gardé mes pieds exclusivement sur la terre ferme
et pris toute personne qui me parlait d’ciel comme dangereux adversaire
j’aurais pu craquer combien d’fois, à respirer la brume
me dire que j’suis qu’un raté d’plus avec cette maîtrise de la plume
j’n’aurais connu qu’l’amour, que l’s~xe le plus sauvage et l’côté charnel
fermé mon cœur jusqu’à ce qu’aucune lueur n’y parvienne

[refrain : scylla]
si j’avais écouté les gens, j’aurais pu crever dans ma poussière
liquidé mes chances de me relever de mes coudières
étrangler mes anges et les traîner dans la boue
et ressentir le manque d’amour me saigner dans la bouche
si j’avais écouté les gens, j’aurais le canon sur la tempe
je m’serais contenté de regarder mes rêves flamber
combien ont d’jà tenté de m’sectionner la jambe ?
depuis, je ne les sens plus, j’avance à vitesse grand v
[couplet 2 : a6mil]
la vie m’a serré dans ses bras, j’ai l’impression d’étouffer
j’ai déjà tout vu, tout fait, vous pouvez garder vos putains d’trophées, yeah
j’suis pas né pour briller, juste né pour prier, seul dieu pour me juger
devant les portes du succès, on décolle les ailes brisées
j’avance dans l’quartier, côtoie des silhouettes à la craie
la jalousie déteint sans qu’on regarde, reste un tracé, regarde
ce que me destinaient mes profs, moi, j’m’en sors pas mal
les gens parlent mal, le revers d’la médaille
j’m’en bats les couilles de ton code postal
sur l’autoroute du bonheur, y a tellement d’dos~d’âne
mes frères planent, l’atterrissage f’ra mal
l’amour rongé entre tragédie, délire et drames
j’vise la lune, à coup sûr, j’aurai la tête dans les étoiles (ouais)
j’avance, pas près d’m’arrêter, pas d’chemin inverse
ma détermination menottée, garde la pêche (garde la pêche, garde la pêche, garde la pêche)

[couplet 3 : code rouge]
ouais, ça taffe dur sur une feuille parce que tenter de construire quelque chose, c’est s’attirer le mauvais œil
c’est s’appâter l’pire des dédains, dans cette [hayet ?] d’série où chacun marche sur l’pied d’son voisin
le malheur de certains fait l’bonheur des autres trahis
y a toujours ces chiens persuadés qu’tu bouffes dans leur gamelle
ces cerveaux perdus en pleine parano, pour qui la réussite des autres est une insulte à leur ego
un tas d’gens qui aimeraient qu’tu t’laisses reculer seulement pour s’donner l’illusion d’avoir pris un peu d’vitesse
pas question d’creuser à la pelle, tes zombies sont sur la selle
délaisse~les qu’on te voie de loin, qu’ils restent à la traîne
fais sortir les boyaux, tu n’seras pas d’ceux qui voient leurs vies défiler à travers l’rétro’
si dieu le veut, tout viendra à bonne échéance
ne te retourne pas, fixe dont un point, fils, et, et avance
[refrain : scylla]
si j’avais écouté les gens, j’aurais pu crever dans ma poussière
liquidé mes chances de me relever de mes coudières
étrangler mes anges et les traîner dans la boue
et ressentir le manque d’amour me saigner dans la bouche
si j’avais écouté les gens, j’aurais le canon sur la tempe
je m’serais contenté de regarder mes rêves flamber
combien ont d’jà tenté de m’sectionner la jambe ?
depuis, je ne les sens plus, j’avance à vitesse grand v

[couplet 4 : a6mil]
on avance face au vent, l’dos courbé, la tête en avant
l’index droit, rotation circulaire dès l’soleil levant
pas assez souffert pour avoir la vie qu’on mène
les hypocrites dominent, propagent, le feu s’démène
nourrissent la haine dans notre domaine
le sommet d’leur ambition : l’sous~sol
si j’les avais écoutés, j’s’rais seul et saoul
le rap : une source où la jalousie apaise sa soif
réussir, c’est comme fuir la dette d’l’afrique à la nage
dans c’dédale où l’égoïsme n’a pas d’égal, la sincérité se vide d’son sang
l’indécence se voit dénuder, c’est dénué d’sens
dans la brume, barricadés sont les esprits brimés
l’ignorance brille et les brebis broutent
ici, nos erreurs les désaltèrent
pendant qu’ailleurs, nos semblables se désintègrent
[sourat ?] et ma foi pour des haltères
coupe le souffle au silence, il crachera la vérité
complice du mensonge, son agonie n’est que méritée
[refrain : scylla]
si j’avais écouté les gens, j’aurais pu crever dans ma poussière
liquidé mes chances de me relever de mes coudières
étrangler mes anges et les traîner dans la boue
et ressentir le manque d’amour me saigner dans la bouche
si j’avais écouté les gens, j’aurais le canon sur la tempe
je m’serais contenté de regarder mes rêves flamber
combien ont d’jà tenté de m’sectionner la jambe ?
depuis, je ne les sens plus, j’avance à vitesse grand v


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