lirik lagu 1pliké140 - booska bâtard
[paroles de “freestyle booska bâtard”]
[intro]
poh, poh, poh, poh
[?]
[?] the snow, boy
[couplet 1]
dans la street, j’ai zéro tuteur (han), on fait courir les bandits d’twitter (han)
t’as poucave quoi ? t’as poucave quoi ? t’as même pas fait 48 heures (salope)
9.2.1.4.0 sur le pochton, comme d’hab’, de la ppe~fra, j’envoie aux auditeurs
y a pas qu’en été qu’on sort les motos : le matin, le réveil, c’est le bruit du moteur
mon flow met ton cerveau en ébullition, tu rleh déjà, c’est que le début du son
tous les jours d’l’année, j’suis en noir comme ardisson (brr, brr), l’ange de la mort est ché~ca dans les munitions (brr)
pour faire des vues, j’ai pas eu b’soin d’daymolition, c’était qu’une démo, là, c’est la démolition
la miss, elle est belle mais son démon est cheum, pour des talbins, elle s’met direct en position
ici, quand on s’amuse, tu t’fais réveiller par les sirènes du samu (poh)
tous les vrais, j’les salue, les faux, on les salit, un penchant pour les thunes, les fimbis, nique sa mère
l’gérant be~tom, le p’tit gère, les rôles s’inversent, à clamart, ça t’arrache ton keus quand tu traverse
couteau papillon, y a pas qu’le glock qui transperce, sors le liquide, négro, j’veux pas qu’tu transpires (salope)
on t’fera pas d’mal si tu parles bien (han), tu finis pas bien si tu parles mal (han)
des pesos, j’en voulais beaucoup, j’me levais, j’mettais des rottes~ca sur l’bon coin
toujours confiance en mon opinel mais j’perds pas mes lles~coui, j’compte aussi sur mes poings
tu parles de rasba, en vrai, t’entends mes pas, j’monte sur l’instru’, je sais qu’t’entends mes basses
c’est des menteurs, j’sais qu’ils s’inventent des tales, j’aimerais bien voir couler le sang d’l’état
tu touches un des miens donc fais bellek aux tiens, on règle les embrouilles avec la vendetta
j’dédicace mes dealers, mes receleurs, la moitié des meufs sont des grosses catins
mais je sais qu’j’vais pas finir solo (han), j’vais p’t~être finir avec une catin
rien n’a changé dans mes sons, j’reste insolant (poh, poh)
[couplet 2]
rien n’a changé dans mes sons, j’reste insolant, [?] ma ‘sique [?] pas impressionnant
flow agressif donc augmente le niveau, demain, on peut niquer l’instru’ juste avec des assonances
ici, les keufs sont [?] rigolant, [?] violent, j’ai volé avec violence
[?] tes clicos, ils font rabattre, en groupe t’es un mec chaud, mais tout seul tu harbat
le manque d’argent, ça tue, ne te laisse pas abattre, le bosseur fait des trous mais l’gérant est khabat
j’étais sur le r, cette pute voulait que j’la capte ; avant, j’volais même chez les meufs que je captais
l’argent facile, c’est pas si simple, nous, on s’adapte, pour te piétiner, toujours la paire adaptée
guette la sanction, j’ai pas fini d’monter, là, j’suis dans l’ascenseur, c’est la reine des tiagas
elle veut que j’sois sincère, une [?] dans l’sud, c’est comme ça qu’on s’en sort, mon pilon, il sent fort
t’as d’la selha dans l’nez, c’est maintenant qu’tu t’sens fort, un plavon qui marche, j’suis prêt à le faire 100 fois
comme céline dion, le guetteur, il casse sa voix, les pieds sur terre, tu vois tes rêves qui s’envolent
sur l’rrain~te comme r9, que d’la frappe qu’on envoie, normal que tous les criquets s’affolent
elle aime des sous alors surveille bien ta folle, un d’mes négros peut la faire taffer
fais pas la mala, raconte pas tout c’que t’as fait, ils jouent les ze pek’ mais j’vois que des buscapé
quand y a heja, ils sont bons qu’à s’taper, j’freestylais dans l’bloc, maintenant, j’suis sur booska~p
ça sort l’bécane, y a plus d’coco, mets la soupape, mon équipe dans ton tier~quar, tu kahalass ou pas ?
mes gavas s’évaporent une fois qu’le coup part, comme d’habitude, gros, y a zéro coupable
toi, tu rappes sur d’la drill mais tu découpes pas, j’vois que des copies, j’entends mon flow tout~par
derrière toi, les képis, négro, te retourne pas, négro, te retourne pas
j’en ai mis des rottes~ca comme senura (brr), toi, tu bombes le torse devant les p’tits (brr)
tu fais moi l’malin quand c’est nous, hein ? tu fais moi l’malin quand c’est nous, hein ?
même nos 03 éclatent leurs 01, éclatent leurs 01
[outro]
y a des mecs qui montent sur des plans sans redescendre, j’té~cla mon pét’ et j’ai fait tomber des cendres
que des négros cagoulés pendant la descente, t’as chaud même si on est en décembre
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